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 Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini]

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Fuhen Yokina
☁--Fuhen Yokina--☁


Masculin
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MessageSujet: Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini]   Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] EmptyDim 4 Déc - 11:17

Yōkina Fuhen
Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] Gothiq12

○ Prénom : Fuhen
○ Nom : Yokina
○ Âge : 17 ans
○ Sexe : Masculin
○ Taille : 176 cm
○ Poids : 72 Kg
○ Orientation Sexuelle : (grand mystère)
○ Groupe sanguin : A-
○ Guilde/groupe : Black Panthers


○ Armes : Rien, il combat avec son propre corps uniquement

○ Magie : Transcendance Physique.
La magie de Fuhen lui permet de canaliser l’énergie du monde qui l’entoure à travers son corps, lui permettant d’accomplir des actes théoriquement impossibles.
Par exemple une lame n’entamera pas sa chair, de même il serait en mesure de traverser un mur de pierre de tailles avec une frappe de la main.
Toutefois si l’aspect défensif de son aptitude n’implique pas de conséquences trop graves (puisqu’il se contente de dissiper l’énergie), l’utilisation de cette magie en offensive peut provoquer de graves blessures internes c’est pour cette raison que cette magie est réprouvée.
Ainsi, puisqu’elle sature les tissus d’énergie, plus l’usage en est prolongé plus les dommages sont grands.


Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] 609196dphysiqye



Fuhen est jeune, sa peau pale et son corps fin lui donnent naturellement un air maladif et fragile cependant ce n’est rien comparé à quand il est réellement blessé (notamment quand il utilise trop sa magie), il prend alors des allures de véritable squelette ambulant avec ses yeux cernés son air agar et sa mine défaite.
Il reste parfois de longs moments à fixer le vide les lèvres légèrement entrouvertes sans que personne puisse dire à quoi il pense, ni même s’il pense. Dans ces moments là la seule chose qui bouge chez lui ce sont ses cheveux noirs de jais mi-longs s’ils sont animés par le vent, car son immobilité s’étend même à ses yeux gris pales qui ne semblent pas ciller.
Il aborde le signe de sa guilde sur le nombril qu’il garde toujours apparent portant rarement des hauts qui le couvrent en dessous des pectoraux, affichant son absence de pilosité sans en paraitre en éprouver le moindre complexe. En revanche son pantalon est des plus classique, simple, en tissus noir il tombe sur des chaussures en cuir noir.
Fuhen a également la désagréable tendance à se glisser derrière vous de sa démarche silencieuse et furtive avant de vous adresser la parole, il n’est d’ailleurs pas rare que ses interlocuteurs manquent de piquer une crise cardiaque quand il démarre la conversation, certains le frappent même par reflexe.
Il faut cependant leur concéder que sa voix monocorde et son visage neurasthénique ne sont pas franchement rassurants, même quand on le connaît depuis très longtemps.


Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] 683747Histoire

Quel mois choisiriez vous pour naitre ?
S’il devait vraiment choisir, Fuhen voudrait surement que ce soit un jour de grand froid, en plein Hiver, quand le silence est épais et que tout semble mort, pour que son cri déchirant l’immobilité du monde soit un symbole de vie, de lutte et de volonté.
Mais non il est né en durant un automne insipide, sous la pluie, et sa naissance est passée inaperçue au fond d’une charrette qui devait emmener sa mère au village voisin pour y trouver une sage-femme qui n’était pas fichue de rester au même endroit toute une semaine.
Quand enfin il eut compris ce qu’il se passait, son paternel avait arrêté les bœufs et s’était rué à l’arrière pour constater qu’il arrivait après la bataille, sa femme serrant déjà contre elle ce chétif poupon pour tenter de le préserver du froid.
Ils se remirent donc en route et arrivèrent enfin au hameau ou se trouvait la vieille chouette qui estima que ce petit ne vivrait pas plus de trois jours. Mais bon elle n’en était plus à une erreur prêt après tout et si ce gamin ne fut jamais doué d’une vitalité ou d’une endurance débordante, il était manifeste qu’il ne mourrait pas sans des raisons suffisantes pour tuer n’importe qui.

Premier enfant de ce jeune couple de braves gens Fuhen eut une enfance surprotégée, probablement en raison de son apparente fragilité. On n’exigeait jamais de lui un effort ou une tâche qui aurait pu mobiliser ses muscles et le plus souvent le petit en était réduit à pratiquer des activités manuelles basiques ou simplement à observer ceux qui s’activaient à la tache. Ses maigres tentatives pour prendre des initiatives provoquaient plus d’inquiétude que d’entrain et l’enfant eut vite pris l’habitude de ne rien tenter si on ne l’y invitait pas directement.
Qui sait ce que serait devenu ce pauvre garçon, préservé du contact des autres enfants de son âge s’il n’avait pas disparu un beau jour de cet environnement inhibiteur.

Comment ? Pourquoi ? Personne ne le sait vraiment dans ce village et Fuhen n’en parle jamais, mais ce n’est pas pour autant qu’il ne sait pas.

Cela c’est passé au cours du printemps de ses huit ans, ses parents s’étaient absentés pour leur travail, et ils avaient laissé l’enfant fragile à la maison. C’était le début de l’après-midi, il peut encore clairement se rappeler la lumière qui passait pas la fenêtre l’invitant à sortir, et contrairement à ce que s’imaginaient monsieur Yokina et sa femme la porte de la maison ne constituait plus un obstacle pour lui depuis un bon moment déjà. Fuhen était donc sortit, il s’était laissé aller a marcher vers la forêt un peu à l’écart du village, puis il y avait eu cette route entre les arbres et cet homme avec son étrange chapeau qui ressemblait à un champignon. Lorsqu’il eut remarqué le petit bonhomme chétif qui le regardait du bord de la route, il lui demanda plusieurs choses qui sont floues dans les souvenirs du jeune homme, mais il lui avait certainement demandé son nom car il se souvient très clairement que l’homme lui avait demandé : « Et ou sont tes parents Fuhen ? » Il avait sans doute répondu qu’il ne savait pas, ce qui était vrai, car l’inconnu lui avait répondu : « Je vois… Tu ne devrais pas rester seul ici, au bord de la route. Viens avec moi. »
C’était un ordre direct aux oreilles de l’enfant et il obéit donc sans poser de question.
Quand il fut plus grand, Fuhen comprit que son bienfaiteur avait cru qu’il était orphelin et avait fait preuve de charité en le prenant sous son aile, mais a ses yeux (aussi étrange que cela paraisse) ses parents n’étaient pas un besoin vital, et tant qu’il resta avec l’homme au chapeau-champignon, il ne s’en préoccupa jamais.

C’était un vieil homme, avec une moustache blanche aussi fournie et broussailleuse que ses sourcils sous son chapeau étrange qu’il n’enlevait jamais. Petit et ventripotent, il s’appelait Ma-Shu.
Au fil du temps, lui et l’enfant apprirent à se connaitre, il était bon vivant et plein de tendresse pour le petit se souciant énormément de son bien-être mais contrairement aux parents de Fuhen, il comprit que son apparence fragile n’était pas la manifestation d’une réelle faiblesse et n’épargna donc pas a l’enfant des efforts qu’il fut même heureux de fournir. D’une part il obéissait aveuglément à son ami au chapeau, et de l’autre il était trop content de pouvoir enfin faire comme les autres. Ils voyagèrent de concert a travers le pays sans jamais rester très longtemps au même endroit, mais leur relation prit un tournant quand presque un an plus tard le vieux dit a son protégé :
« Tu sais Fuhen, je ne suis plus tout jeune, et je n’ai pas de famille. Un jour je vais devoir mourir, c’est comme ça pour tout le monde. »
L’enfant n’avait jamais vraiment pensé à la mort mais il savait a peu prés ce que cela signifiait, et il craignait que le vieux bonhomme le laisse seul une fois qu’il aurait quitté ce monde.
« Tu peu pas disparaitre! Qu’est-ce que je deviendrais moi ? »
« Ca n’a rien d’effrayant de mourir tu sais, mais ce que je regrette c’est qu’avec moi c’est un secret de ma famille qui va mourir. Alors je voudrais que tu me promettes quelque chose… »
Bien qu’il butta encore sur l’idée de ne plus voir son ami, la curiosité de l’enfant l’emporta :
« Je ferrais tout ce que tu veux. »
« Je vais t’apprendre pourquoi la mort ne fait pas peur. Ce monde est composé de bien des choses, mais il y en a une à la base de toute : c’est l’énergie. Elle est partout et quand nous mourrons, c’est juste que nous laissons notre énergie s’écouler hors de nous pour aller vers d’autres choses. Donc on ne meurt pas vraiment tu comprend, on est juste différent d’avant. »
Le concept était flou pour le garçon mais il saisissait l’essentiel, aussi hocha-t-il là tête : on ne mourrait pas, on devenait autre chose.
« Avec la magie, on peu canaliser cette énergie a travers soi et la diriger, la concentrer ou la dissiper selon son gré… »
« Ma-Shu, tu es un Madoshi? »
Le vieux hocha la tête :
« Oui, et toi aussi tu en serra un. »
Le garçon n’envisagea même pas une autre possibilité, c’était ce que voulait son ami il n’avait pas son mot à dire.
« Et je serais fort ? »
« Tu serra plus fort que n’importe qui si tu fait preuve de sagesse, sinon tu te détruira avec la puissance que tu utiliseras.»
« Je pourrais porter des grosses pierres ? »

Le vieux sourit, visiblement ravi de la naïveté de l’enfant et se dirigea vers un rocher trois fois plus gros que lui. Il glissa ses mains dessous et, avec plusieurs petits craquements de racines cédant sous la traction, le souleva au dessus de sa tête comme s’il ne pesait rien.
« Oui, et tu pourras faire bien plus encore mon garçon. La magie n’est limitée que par ce que tu t’autorise.»

Ainsi commença son apprentissage de la magie, et par la même occasion, de la transcendance physique. Celle-ci dura quatre ans, puis un matin le bon Ma-Shou mourut. Son disciple ne pleura pas car il avait compris les paroles que son maitre avait prononcées plusieurs années auparavant, en revanche il songea enfin à rentrer chez lui.
Il voyagea donc pendant sept mois pour finalement revenir dans ce village qu’il connaissait.
Malgré ses souvenirs assez vagues il retrouva la maison d’où il était partit.

Oui, il en était parti, et pas seulement de son fait. Dans cette maison toute une ribambelle d’enfants joyeux et plein de vie riaient, jouaient et se chamaillaient dans la cours tandis que, sur la pas de la porte, une femme rayonnante les surveillait en souriant.
Fuhen n’avait plus sa place dans ce foyer, on l’avait oublié et il n’aurait pas trouvé le courage de s’avancer auprès de cette femme. Après tout qu’est-ce qu’elle aurait bien pu faire d’un gamin pâlichon quand elle en avait quatre en parfaite condition avec des joues roses qui pouvaient courir sans qu’elle se fasse un sang d’encre?
Profondément meurtri, il se détourna et enfouit sa douleur et sa rage au fond de son cœur.
Il erra à travers le pays, subsistant comme il pouvait, volant quand il ne pouvait pas faire autrement. Finalement il réalisa qu’il serait plus en sécurité dans une guilde avec d’autres madoshi et il ralia la plus proche, une petite guilde de moindre importance. Durant deux ans il accomplit diverse missions sans se faire trop remarquer, si ce n’est par son côté étrange, et sa solitude qu’aucun dans la guilde ne tentait vraiment de rompre.
C’est a l’age de 15 ans qu’il tua quelqu’un pour la première fois.
Il devait protéger un client et l’agresseur se ruait sur celui-ci. A quinze pas derrières, Fuhen n’avait pas d’autre choix que de transcender pour arriver à s’interposer.
Il fonça donc en une seconde et posa sa main sur le torse de l’attaquant, afin de l’arrêter, mais une légère erreur d’appréciation fit qu’emporté par la vitesse, son bras traversa le torse de celui-ci qui s’écroula dans un râle en laissant son sang jaillir sur le jeune madoshi.
Trop concentré sur son objectif pour se formaliser, Fuhen poursuivit sa mission et revint à la guilde sans vraiment se préoccuper des conséquences de son acte.
Mais cela fut très mal vu et malgré la version officielle de l’accident, les commérages allèrent bon train selon lesquels, il avait sciemment tué cet homme, que ce n’était pas la première fois (d’ailleurs son absence de réaction le prouvait) et qu’il était profondément malveillant.

Sentant que les choses se gâtaient pour lui, Fuhen choisit de s’en aller.
Il reprit ses vagabondages et son ancienne vie pour un temps mais eut vent d’une guilde ou l’on était pas aussi manichéen, et ou si l’on se montrait efficace on avait la reconnaissance que l’on méritait. Pourquoi pas après tout ?

C’est donc avec ces motivations qu’a presque seize ans, Fuhen Yukina rejoignit les Black Panthers.
Depuis il a trouvé une vrai famille ou on ne le juge ni pas son physique ni par les préjugés mais seulement par ses actes et sa loyauté sans faille.


Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] 933448caractre

Le jeune Yokina est introverti, il parle rarement de lui-même, et ne s’est pour l’heure jamais livré a de grandes tirades (encore moins enflamées). En général ses interventions relèvent de la pure nécessité, il peu passer des semaines sans dire un mot si rien ne l’y oblige. Son record (homologué par ceux de la guilde sans qu’il leur ait rien demandé) à été de 3 mois et 28 jours et a fini à la cantine en ces termes au court d’une bagarre: « Ne crache pas ton sang dans ma soupe… ».
Sinon il est franc, direct et sans douceur, il dit ce qu’il pense (même s’il est assez pessimiste) et se fiche apparemment de l’effet que ça fait aux gens. Le genre de type qui fait un arbitre de premier ordre mais à qui on ne confiera jamais une mission diplomatique. Fuhen n’a qu’une parole et quand il la donne il en oublie tout le reste, s’isolant de tout le reste jusqu'à ce qu’il ait accompli son devoir. Il possède une faculté de concentration assez rare, ce qui permet de compenser son manque de confiance en lui.

Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] 186815Informations


○ Les passions : Son boulot / Le rangement
○ Les Phobies : Redoute d’être rejeté/ A des accès d’agoraphobie

○ Les Qualités : Loyal/ Franc/ Courageux/ Concentré/ Posé/ Perfectionniste/Confiant envers ses camarades
○ Les défauts : Direct/ Téméraire/ Introverti/Manque de confiance en soi/ « Vit dans son monde »/ Flippant/ Pessimiste

○ Qui est le personnage sur ton avatar : C’est une création
○ Veux-tu un rang sous ton avatar : Non
Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] 11645219pc

○ Prénom : Vivien
○ Ton age : 19 ans

○ Où as-tu découvert FTAS :Par google, je cherchais des infos sur Fairy Tail et le hasard à fait le reste.
○ Qu'est-ce qui t'a attiré dessus : La finition : beaucoup de détails, un contexte clair, une documentation conséquente
○ Veux-tu avoir accès à la zone Hentai/Yaoi/Yuri : Oui
○ Code de validation : YRIAF LIAT IIHSARATA IAKES (ou IAKES IIHSARATA LIAT YRIAF chui pas bon pour cette langue là X_X )

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Treyla Eliade
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MessageSujet: Re: Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini]   Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] EmptyJeu 8 Déc - 19:07

Orthographe : 2 / 2
Vocabulaire : 2 / 2
Conjugaison : 2 /2
Qualité : 1.5 / 2
Originalité : 2 /2
Respect de la langue française : 2/2
Note perso : 1.5 / 2
Bonus longueur du texte : 3 / 6


Cela te fait donc une note de 16 soit 17 avec le niveau offert.
Pour ta fiche de présentation tu as donc :
- 17X5+10 ----> 95 points de caractéristiques
- 17 + 6 -----> 23 points de technique
et enfin 20.000 puisque tu intègres une des trois guildes sous peuplées.

Tu peux aller faire ta fiche technique et si tu as des questions n'hésite pas !
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Fuhen Yokina
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MessageSujet: Re: Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini]   Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] EmptyDim 11 Déc - 3:07

Merci beaucoup Very Happy

J'aurais surement besoin d'un ou deux conseils pour ma fiche technique, mais promis je demanderais ^^
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MessageSujet: Re: Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini]   Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini] Empty

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Fuhen Yokina déprimé de la vie [fini]

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